Zoom
Rythme du mm
1983
Aurelie Nemours
En 1949, Aurelie Nemours se lance dans l’abstraction picturale, bannissant l’espace et le temps physique. L’œuvre soumet la suprématie de ses formes élémentaires et neutres à une construction rigoureuse. Le résultat de son organisation est le fruit de systèmes intuitifs, fondés sur la grille ou le mode sériel et inspirés par la nature. C’est ainsi que l’artiste commence en 1976 la première des séries « Rythmes du millimètre », composée d’œuvres de petit format, qu’elle achève en 1990. Elle accord une importance particulière à l’intensité, la vibrance et l’unité des valeurs noir et blanc.
Aurelie Nemours
France
Né en 1910
Né en 1910 à Paris, France
Décédée en 2005
Aurelie Nemours vient à l’abstraction en 1949. Depuis lors elle effectue des recherches sur le jeu des lignes et leur rapport à des surfaces colorées, sur les angles, le point, sur des formes géométriques, horizontales et verticales, qu’elle conçoit comme des archétypes.
Avant toute élaboration, elle procède à des mesures, études, esquisses et dessins. Puis elle va à l’essentiel, en noir et blanc ou en couleur ; pour elle, la couleur est « énergie pure ». Elle travaille par séries. Se suivent : les Demeures, des pastels (1953-1959), puis des huiles sur toile, les Pierres angulaires (1956-1960), Au commencement (1959-1962), le Rythme du millimètre, pour lequel elle part de la nature pour arriver à une grille (1972-1980), les Structures du Silence, faites de formats carrés, de rapports de formes géométriques peintes en noir et blanc (1983-1990) et enfin, à partir de 1992, N + H (Nombre et Hasard) ou des combinaisons aléatoires perturbent son calcul.
Décédée en 2005
Aurelie Nemours vient à l’abstraction en 1949. Depuis lors elle effectue des recherches sur le jeu des lignes et leur rapport à des surfaces colorées, sur les angles, le point, sur des formes géométriques, horizontales et verticales, qu’elle conçoit comme des archétypes.
Avant toute élaboration, elle procède à des mesures, études, esquisses et dessins. Puis elle va à l’essentiel, en noir et blanc ou en couleur ; pour elle, la couleur est « énergie pure ». Elle travaille par séries. Se suivent : les Demeures, des pastels (1953-1959), puis des huiles sur toile, les Pierres angulaires (1956-1960), Au commencement (1959-1962), le Rythme du millimètre, pour lequel elle part de la nature pour arriver à une grille (1972-1980), les Structures du Silence, faites de formats carrés, de rapports de formes géométriques peintes en noir et blanc (1983-1990) et enfin, à partir de 1992, N + H (Nombre et Hasard) ou des combinaisons aléatoires perturbent son calcul.
Œuvres de
Aurelie Nemours
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