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Structure du silence C
1983
Aurelie Nemours
Peinture
100 x 100 cm
© Adagp, Paris, 2007
Avant toute élaboration, Aurelie Nemours procède à des mesures, études, esquisses et dessins. Puis elle va à l’essentiel, en noir et blanc ou en couleur ; pour elle, la couleur est « énergie pure ». Elle travaille par séries. Se suivent : les Demeures, des pastels (1953-1959), puis des huiles sur toile, les Pierres angulaires (1956-1960), Au commencement (1959-1962), le Rythme du millimètre, pour lequel elle part de la nature pour arriver à une grille (1972-1980), les Structures du Silence, faites de formats carrés, de rapports de formes géométriques peintes en noir et blanc (1983-1990) et enfin, à partir de 1992, N + H (Nombre et Hasard) ou des combinaisons aléatoires perturbent son calcul.
Avant toute élaboration, Aurelie Nemours procède à des mesures, études, esquisses et dessins. Puis elle va à l’essentiel, en noir et blanc ou en couleur ; pour elle, la couleur est « énergie pure ». Elle travaille par séries. Se suivent : les Demeures, des pastels (1953-1959), puis des huiles sur toile, les Pierres angulaires (1956-1960), Au commencement (1959-1962), le Rythme du millimètre, pour lequel elle part de la nature pour arriver à une grille (1972-1980), les Structures du Silence, faites de formats carrés, de rapports de formes géométriques peintes en noir et blanc (1983-1990) et enfin, à partir de 1992, N + H (Nombre et Hasard) ou des combinaisons aléatoires perturbent son calcul.
Aurelie Nemours
France
Né en 1910
Né en 1910 à Paris, France
Décédée en 2005
Aurelie Nemours vient à l’abstraction en 1949. Depuis lors elle effectue des recherches sur le jeu des lignes et leur rapport à des surfaces colorées, sur les angles, le point, sur des formes géométriques, horizontales et verticales, qu’elle conçoit comme des archétypes.
Avant toute élaboration, elle procède à des mesures, études, esquisses et dessins. Puis elle va à l’essentiel, en noir et blanc ou en couleur ; pour elle, la couleur est « énergie pure ». Elle travaille par séries. Se suivent : les Demeures, des pastels (1953-1959), puis des huiles sur toile, les Pierres angulaires (1956-1960), Au commencement (1959-1962), le Rythme du millimètre, pour lequel elle part de la nature pour arriver à une grille (1972-1980), les Structures du Silence, faites de formats carrés, de rapports de formes géométriques peintes en noir et blanc (1983-1990) et enfin, à partir de 1992, N + H (Nombre et Hasard) ou des combinaisons aléatoires perturbent son calcul.
Décédée en 2005
Aurelie Nemours vient à l’abstraction en 1949. Depuis lors elle effectue des recherches sur le jeu des lignes et leur rapport à des surfaces colorées, sur les angles, le point, sur des formes géométriques, horizontales et verticales, qu’elle conçoit comme des archétypes.
Avant toute élaboration, elle procède à des mesures, études, esquisses et dessins. Puis elle va à l’essentiel, en noir et blanc ou en couleur ; pour elle, la couleur est « énergie pure ». Elle travaille par séries. Se suivent : les Demeures, des pastels (1953-1959), puis des huiles sur toile, les Pierres angulaires (1956-1960), Au commencement (1959-1962), le Rythme du millimètre, pour lequel elle part de la nature pour arriver à une grille (1972-1980), les Structures du Silence, faites de formats carrés, de rapports de formes géométriques peintes en noir et blanc (1983-1990) et enfin, à partir de 1992, N + H (Nombre et Hasard) ou des combinaisons aléatoires perturbent son calcul.
Œuvres de
Aurelie Nemours
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