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259 – Le collectionneur
2004
Gilbert Garcin
Photographie
50 x 60 cm Edition 11/12
Tirage baryté noir et blanc
C’est avec un sens tout hitchcockien de sa propre mise en abyme que Gilbert Garcin apparaît dans ses clichés existentialistes aux titres caustiques. Entre humour et angoisse, ces petits autoportraits fictionnés (dans lesquels Mme Garcin apparaît à son tour depuis quelques temps) servent de prétexte à une percutante allégorie de la condition humaine. Clins d’œil à l’histoire de l’art, on retrouve ici Calder, Serra ou Morellet.
Texte : Carole Vantroys.
C’est avec un sens tout hitchcockien de sa propre mise en abyme que Gilbert Garcin apparaît dans ses clichés existentialistes aux titres caustiques. Entre humour et angoisse, ces petits autoportraits fictionnés (dans lesquels Mme Garcin apparaît à son tour depuis quelques temps) servent de prétexte à une percutante allégorie de la condition humaine. Clins d’œil à l’histoire de l’art, on retrouve ici Calder, Serra ou Morellet.
Texte : Carole Vantroys.
Gilbert Garcin
France
Né en 1929
Né en 1929 à La Ciotat.
Vit et travaille à Marseille
Prouvant magistralement que la valeur attend parfois le nombre des années, Gilbert Garcin débute une fulgurante carrière de photographe à 65 ans, alors qu’il prend une retraite méritée de patron d’une fabrique de luminaire. Dans ses petites installations surréalistes, ce fils spirituel de Magritte et cousin germain du M. Hulot de Jacques Tati met en scène des situations qui ont pour point commun un sens développé de l’autodérision et de l’absurde. Bricolés à l’aide de carton, de colle, de sable, de photographies découpées et de pièces de Meccano, ses simulacres minimalistes empreints de magie sont autant de clins d’oeil ironiques au règne de l’image virtuelle.
Texte : Carole Vantroys.
Vit et travaille à Marseille
Prouvant magistralement que la valeur attend parfois le nombre des années, Gilbert Garcin débute une fulgurante carrière de photographe à 65 ans, alors qu’il prend une retraite méritée de patron d’une fabrique de luminaire. Dans ses petites installations surréalistes, ce fils spirituel de Magritte et cousin germain du M. Hulot de Jacques Tati met en scène des situations qui ont pour point commun un sens développé de l’autodérision et de l’absurde. Bricolés à l’aide de carton, de colle, de sable, de photographies découpées et de pièces de Meccano, ses simulacres minimalistes empreints de magie sont autant de clins d’oeil ironiques au règne de l’image virtuelle.
Texte : Carole Vantroys.
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