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Sans titre
2000
Eric Poitevin
Photographie
175 x 220 cm
C-print.
© ADAGP, Paris, 2010.
Au même titre que l’humain ou l’animal, le règne végétal est un motif récurrent chez Éric Poitevin. Avec ses réseaux de branches qui montent vers le ciel comme d’immenses tentacules, cet arbre en contreplongée met en scène la dialectique de la vie (l’élan vital du tronc) et de la mort (les branchages dénudés) qui traverse toute son œuvre. On peut aussi y lire le souhait du photographe de capturer ce moment suspendu durant lequel l’image concrète bascule dans l’abstraction.
Texte : Carole Vantroys.
© ADAGP, Paris, 2010.
Au même titre que l’humain ou l’animal, le règne végétal est un motif récurrent chez Éric Poitevin. Avec ses réseaux de branches qui montent vers le ciel comme d’immenses tentacules, cet arbre en contreplongée met en scène la dialectique de la vie (l’élan vital du tronc) et de la mort (les branchages dénudés) qui traverse toute son œuvre. On peut aussi y lire le souhait du photographe de capturer ce moment suspendu durant lequel l’image concrète bascule dans l’abstraction.
Texte : Carole Vantroys.
Eric Poitevin
France
Né en 1961
Né en 1961 à Longuyon, Meuse, France.
Vit et travaille à Mangiennes, Meuse.
C’est avec des portraits de vétérans de la Première Guerre mondiale qu’Éric Poitevin fait une entrée remarquée en photographie, en 1985. S’ensuivront un passage par la Villa Médicis et des portraits de dignitaires de la curie romaine, des visages de jeunes femmes au regard hypnotique, des cerfs et des chevreuils abattus à la chasse ou des boîtes de papillons en voie de décomposition. Photographe des êtres et des lieux qui tendent à disparaître, il évite soigneusement toute tentation documentaire pour construire des images capables de tenir par leur seule force plastique.
Texte : Carole Vantroys.
Vit et travaille à Mangiennes, Meuse.
C’est avec des portraits de vétérans de la Première Guerre mondiale qu’Éric Poitevin fait une entrée remarquée en photographie, en 1985. S’ensuivront un passage par la Villa Médicis et des portraits de dignitaires de la curie romaine, des visages de jeunes femmes au regard hypnotique, des cerfs et des chevreuils abattus à la chasse ou des boîtes de papillons en voie de décomposition. Photographe des êtres et des lieux qui tendent à disparaître, il évite soigneusement toute tentation documentaire pour construire des images capables de tenir par leur seule force plastique.
Texte : Carole Vantroys.
Œuvre de
Eric Poitevin
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